Cette rue menait à une passerelle qui enjambait la Doller, d`où son nom. La traduction est littérale en dialecte mulhousien.

Nom qui rappelle la vocation textile du lieu. Traduction littérale en dialecte mulhousien.

Rue typique de la Cité de Mulhouse. L`appellation (traduction littérale en dialecte mulhousien) ne semble pas avoir une motivation particulière, si ce n`est de rendre hommage à cette corporation.

Cette rue aboutit à l`ancienne fabrique de verres d`Albert Gerrer. La ville souhaita par cette dénomination (traduite littéralement en dialecte mulhousien) rendre hommage en 1926 à cette corporation.

Cette rue créée en 1924 aboutit à l`ancienne « tuilerie Lesage » qui produisit également des briques rouges typique des bâtiments concernés. En souvenir des ouvriers ayant exercé leur talent dans ce domaine emblématique de l`industrie mulhousienne, le Conseil de quartier a proposé de surnommer cette rue « Bàchsteiglatscher Stross » (la rue des façonneurs de briques).

La famille « Ellès » habitait cette rue. Le dernier survivant de la lignée désigna la ville comme légataire universel en 1877. En remerciement de cet acte de générosité, la ville octroya le nom de cette famille à cette rue` Cela n`a donc rien à voir avec le pronom personnel « elles ».

Comme souvent à Mulhouse, la présence historique d`une famille (ici la famille « Ritter ») conduisit à une dénomination de lieu ; « chevalier » étant la traduction française de « Ritter »

Encore une rue qui a pâtit des traductions successives induites par les changements d`appartenance politique de la ville de Mulhouse. En effet, primitivement appelée « rue de l`égout » en raison d`une prise d`eau sur le canal pour alimenter un fossé de la vieille ville, la traduction germanique en 1892 donna « Dohlenstrasse ». Or « Dohle » a en allemand le double sens de bouche d`égout et de corneille. En 1919, c`est ce second qualificatif qui fut retenu et voici comment fut née la « rue de la Corneille »

C`est un chemin historiquement piétonnier. Il s`agissait d`un endroit sombre et assez malfamé. Pour en éloigner les enfants, on leur racontait que l`endroit était infesté de sorcières` Le surnom « Haxawagla » (chemin de la sorcière) tire donc son nom vernaculaire de cette légende.

La traduction littérale « rue du fer » vient de la proximité d`un commerce de « Fer, tôle et aciers ». La quincaillerie a laissé sa place en 1968 à des entrepôts.